Sunday, December 27, 2009
Revue de l'année 2009
Saturday, November 7, 2009
Rogers Sportsnet Workshop
Tuesday, November 3, 2009
Compte rendu des observations d'une soirée au Centre Bell
Wednesday, September 30, 2009
Sportnographe
"On va régler tout de go un gros détail qui me fait grincer des dents:
Georges Laraque ne m’a jamais demandé de lui offrir les questions que je voulais lui poser avant de m’accorder une entrevue samedi dernier et dont j’ai publié la teneur dans des textes parus lundi matin dans La Presse.
Jamais!" - François Gagnon
Ah ben gadon. Mais là là, M. Raymond, y'en a mis pas mal... Sa réaction était pas mal exagérée. Selon François Gagnon, il y a rien de vrai dans tout ça!
Bon, fin de l'histoire alors. Un autre front page avec aucun contenu.
Ben non! Laisser tomber l'histoire là serait mal connaître nos amis les chroniqueurs sportifs. Pourquoi ne rien dire quand on peut dire n'importe quoi.
Alors, les amis, je vous laisse avec un commentaire de quelqu'un qui n'a certainement pas passé aux conclusions trop vite.
Monday, August 10, 2009
Des trucs que j'ai fait (pt. 3)
Sunday, August 2, 2009
Trois albums
Wednesday, July 22, 2009
25.
Monday, July 20, 2009
Dimanche soir, Club Opéra
Saturday, July 4, 2009
le 1er juillet
Saturday, June 27, 2009
2009 NHL Draft
Saturday, June 13, 2009
Quand l'éthique devient une mode
Sunday, May 24, 2009
Antoine Gratton
Finalement, c'est arrivé. Son heure. Son moment. Son explosion. Sa fission nucléaire. Son big bang. Hier, à la première montréalaise du spectacle de son formidable dernier album, Le Problème avec Antoine, ledit Antoine a été plus que formidable. J'ai pas le mot, à vrai dire, alors je mets: plus. Plus plus plus. Déchaîné? Pas assez fort. Faudrait renchérir sur la surenchère. Démentiellement époustouflant? Brillamment éblouissant? Maudit maudit maudit bon show?
J'échoue, là. Ça ne dit rien de ce qui s'est passé. Rien d'autre que la mesure de ma réaction. Alors qu'il faudrait tout décrire de ce qu'Antoine Gratton donnait à voir, entendre et jouir. Son entrée en scène de Stade Olympique, son tuxedo lamé rouge glam-rock estampillé 1973, son piano-boule miroir scintillant de mille feux. Son aisance, parler de cette aisance incroyable qu'il a, de cette façon d'arrêter quand il veut et reprendre quand ça lui prend, de l'effarante vivacité d'esprit qui lui permet de réagir illico à n'importe quoi: son sens du happening.
J'ai encore rien dit de la musique. Tout le Gershwin qui s'immisce dans ses arpèges, l'intégrale Elton John, Billy Joel et autres Supertramp au bout des doigts, cette culture musicale tentaculaire (des citations partout, ici un thème de James Bond, là des gammes de Lady Madonna), ce répertoire infini qui squatte constamment ses chansons à lui. J'exagère, vous trouvez? Je suis totalement en dessous de la vérité. Le talent lui pisse des pores, ce gars-là, et je n'ai pas vu au Québec un showman comme lui depuis... depuis quand déjà? Dédé à l'ancien Soda? Leloup sur la Catherine? Si j'avais vu Charlebois la fameuse fois de l'Esquire Showbar en feu, je pourrais comparer. Hélas.
Fallait être là, j'imagine. À l'Esquire comme au Soda hier. Vivre ça. Et raconter comme on peut Antoine transportant le show avec son seul banjo, du fin fond du parterre. Et Antoine sautant sur son banc de piano comme sur une trempoline. Et Antoine invitant Pierre Bertrand et démontrant avec lui que Ma blonde m'aime est une chanson d'enfer (qui l'eut cru?). Et Antoine avec Daniel Boucher, pendant la bien-nommée À l'aide, se répondant, mon clavier ta guitare, goguenards, heureux comme des frères. Boucher qui, soit dit en passant, officiait hier en première partie de Gratton, trois semaines après que Gratton eut levé le rideau de Boucher (et tenu la basse dans son power trio).
J'arrive en fin de texte. Déficitaire. Rien dit de l'incroyable flexibilité du power trio pop d'Antoine et ses copains les Chartrain. Ni des ballades qui avaient le blues comme ça se peut pas (La Dernière fois, Le Monde, Noeud de cravate). Pas le choix: faudra qu'il récidive, le bougre. Condamné à exploser, désormais.
Bloggeuse à temps partiel
Sunday, May 10, 2009
Chicago Blackhawks
Wednesday, April 22, 2009
Quand ça va mal, pt. 2
Friday, April 3, 2009
Etsy
Pour cette raison, j'adore Etsy, qui me permet de découvrir plusieurs nouveaux designers montréalais, pour des prix parfois ridicule(ment bas).
Voici mes derniers coups de coeur.
Tuesday, March 31, 2009
Amazing article
Tonight was so frustrating.
Yeah, I'm talking to you. All of you. Every single fucking idiotic person who was in attendance at the Bell Centre on Saturday night who decided, in your infinite wisdom, to boo Craig Rivet.
Craig Rivet!
You remember Rivet, right? Drafted by the Habs in 1992 after his first season with Kingston in the OHL. Went on to toil for the Baby Habs (then based in Fredericton) for parts of four seasons before finally sticking with the Big Club in 1997-98. Worked his ass off for twelve full years in the organization, and became a steady, reliable defender who would help out the offence on occasion, would stand up for his teammates, was good in the room (even wore the "A") and could step up to work the powerplay in a pinch. A loyal soldier, by all accounts a friendly, hardworking sort. Still referenced in almost every feature as our beloved Captain Koivu's best friend. Traded at the deadline a few years back for Josh Gorges and the pick that became Max Pacioretty because he was out of contract in the summer. If I recall, he was devastated at being shipped out.
What, for fucks sakes, tell me what in the preceding paragraph makes you fucking dolts want to boo Craig Rivet when he returns as a member of the Sabres? Fuck me, he didn't demand a trade. He didn't burn his Canadiens jersey on the dais at his introductory San Jose press conference, did he? Did he badmouth the organization in any way? Did he cause the Canadiens any embarrassment while he played for them? Did he use the morning skate Saturday to piss on the logo at centre ice? Did he spend the game throwing cheap shots and waving the finger at the red seats? For fucks sakes, you fucking people need to get a grip. Your team is trying to right itself from a train wreck of a slump, already fired the coach, spent most of the winter doing their best to derail a promising season with mobsters, sulking, atrocious goaltending, drug rumours and more, and in an important game against a team chasing Montreal for a playoff spot, you spent your energy booing a guy who served the team for a decade and got traded? Are we raining garbage down on the Cristowall next visit? Brickbats for Steve Begin? Catcalls for Sheldon Souray and Mark Streit? Hanging Mickey Ribs in effigy ... wait, bad example.
Look, I understand that you've got a right to cheer and boo to your little, dimwitted fucking heart's content. I even enjoy the abuse heaped on guys like Grabovski or Avery or Chara (although really, Milan Lucic should be the one on the receiving end for the Bruins.) But you booed a defensive defenceman on the fucking Sabres ... why? Because he used to play for Montreal and got traded? Players come and go ... do you fuckheads boo every former Hab? Because he took some liberties with our players? Rivet is a not-too-fast, not-too-offensively gifted stay-at-home defenceman. He makes his living shutting guys down and making them think twice about coming near his goalie or teammates. Unless there was a particularly egregious foul I missed, why are you booing a former loyal servant for doing his job? Christ, the Sabres have one of the biggest diving crybabies in the league in fucking Derek Roy, and you fuckers booed Craig Rivet? Get fucking bent, you bunch of fucking twits.
And enough with the fucking OLE chant, for fucks sakes!
Saturday, March 28, 2009
Aventures au Centre Bell
Thursday, March 26, 2009
Clothes I want, Betsey Johnson edition
Betsey Johnson | |
Dolly Shoes leather and satin sexy closed back sandal with satin bow detailApproximately 4 inch heelLeather sole |
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Betsey Johnson | |
Multi Floral Bee Ring pink flowers with bug |
Wednesday, March 25, 2009
LOST
I am just so confused about tonight's episode. so, so, so confused.
This video is amazing.
Thursday, March 19, 2009
Juste une petite pensée comme ça...
Non mais, est-ce qu'il y a quelque chose de plus sexy qu'un gars qui porte parfois des lunettes?
Saturday, March 14, 2009
Devils vs. Canadiens
Peu importe qui l'emportait, c'était sensé être un match important pour les deux équipes. Les Devils, en feu actuellement, voulaient remporter la victoire pour Brodeur. Les Canadiens devaient gagner, la course aux séries est trop serrée, et, s'ils avaient besoin d'une motivation supplémentaire, c'était le 1000e match de Patrice Brisebois.
Friday, March 13, 2009
To blog or not to blog
Thursday, March 12, 2009
Quand ça va mal...
Wednesday, March 11, 2009
In before JT Utah
Musique
Monday, March 9, 2009
Macro fun
Here are funnier things.